Anciens stagiaires
The Honourable Mr. Justice M. Kaufman
The Honourable Mr. Justice J.M. Scurfield
The Honourable Mr. Justice B. Midwinter
The Honourable Judge S.V. Devine
The Honourable Judge J.A. Elliott
The Honourable Judge B.D. Giesbrecht
The Honourable Judge R.J. Meyers
The Honourable Judge H.R. Pullan
The Honourable Judge R. Thompson
The Honourable Judge F. Sandhu
The Honourable Judge T. Preston
The Honourable Judge M. Thompson
The Honourable Judge C. Roller
The Honourable Judge P. Umpherville
The Honourable Judge H.L. Allen
The Honourable Judge R. Heinrichs
The Honourable Judge M. McDonald
The Honourable Judge T. McDonald
The Honourable Madam Justice A. Horst
The Honourable Judge S. Raposo
Allan Fineblit, Q.C., COO, Thompson Dorfman Sweatman LLP
Neil Cutler, Senior Crown Prosecutor, Manitoba Justice
L’ambiance était électrisante.
Lorsque j’ai été engagé, Aide juridique Manitoba était encore une très jeune organisation – elle n’avait que quatre ans. L’ambiance était électrisante. Les besoins semblaient infinis, et le personnel s’était donné la mission de rendre le monde meilleur et plus juste. Pour le jeune avocat que j’étais, il n’y avait pas de meilleure place.
—Allan Fineblit, c.r., directeur général des opérations, Thompson Dorfman Sweatman, s.r.l.
J’y suis revenue plus tard comme avocate pendant dix ans.
J’ai débuté à Aide juridique Manitoba comme stagiaire. J’y suis revenue plus tard comme avocate et j’y suis restée dix ans. Mes responsabilités en tant qu’avocate de garde pour les audiences au tribunal dans les collectivités isolées m’ont amenée à faire des expériences inhabituelles : interviewer des jeunes, rédiger des notes à l’extérieur sur le capot d’une voiture, voler en hydravion, en hélicoptère et en avion de brousse à quatre places, rester immobilisée sur place pendant plus de deux jours en raison d’une tempête de neige, vivre dans un poste de soins infirmiers, voir des ours polaires à Churchill, etc.
—Madame la juge Léa Duval, Cour du Banc de la Reine
J’ai pu éviter à une mère seule d’être expulsée de son appartement.
Mon stage en droit au Centre chargé des questions juridiques d’intérêt public m’a offert de nombreuses possibilités que je n’aurais pu avoir nulle part ailleurs. Comme le bureau n’a pas pour politique de maximiser ses revenus, nous pouvons nous charger de causes non pas parce qu’elles étaient payantes, mais bel et bien parce que la personne avait besoin de notre aide. Par exemple, j’ai pu éviter à une mère seule de quatre enfants vivant de l’aide sociale d’être expulsée de son appartement en plein cœur de l’hiver.
Le travail qui est fait dans ce centre est probablement unique en son genre au Canada. Vous aurez la possibilité d’y aborder des questions juridiques vraiment intéressantes en matière, notamment, de droits de la personne, de droit autochtone, de droit de l’environnement et de droit de la consommation. De plus, le milieu de travail y est excellent. Le personnel est vraiment aimable et talentueux.
—Daniel Rempel, ancien stagiaire en droit
Une année de stage à Aide juridique Manitoba peut équivaloir à cinq années d’expérience à un autre endroit.
Je vous recommande fortement d’envisager de faire votre stage en droit à Aide juridique Manitoba. La décision de faire mon stage auprès de cet organisme m’a bien servie. Avant d’entreprendre mon année de stage, j’avais entendu dire – et maintenant, je peux le confirmer – qu’une année de stage à Aide juridique Manitoba peut équivaloir à cinq années d’expérience à un autre endroit. Ce fut une bonne année.
—Judy Eagle, ancienne stagiaire en droit
Je m’acquittais d’une pleine charge de travail.
J’ai travaillé au Centre universitaire d’Aide juridique Manitoba pendant l’été 2005. J’ai trouvé que c’était un moyen inestimable d’acquérir beaucoup d’expérience. Je m’acquittais d’une pleine charge de travail, offrant des services de représentation, travaillant en salle d’audience et négociant des règlements. Un stage à Aide juridique Manitoba permet d’acquérir une expérience pratique complète – traiter directement avec la clientèle, travailler en salle d’audience et acquérir les aptitudes fondamentales pour devenir une bonne avocate ou un bon avocat.
—Peter Tonge, ancien stagiaire en droit
J’ai pu agir comme avocate adjointe dans un procès pour homicide involontaire.
Il est possible d’apprendre plus ici que dans n’importe quel autre cabinet de droit pénal parce que vous avez votre propre clientèle et que vous vous occupez de vos causes depuis l’appel en provenance du centre de détention, en passant par l’arrestation et la mise en liberté sous caution jusqu’à la réponse à l’accusation ou le procès. Je ne m’attendais pas à mettre la main à la pâte dès le début. J’ai donc pu apprendre à réfléchir rapidement.
Je me suis occupée personnellement d’environ 25 dossiers, mais j’ai également aidé un bon nombre d’autres bénéficiaires en tant que conseillère juridique de garde dans de nombreuses salles d’audience. J’ai eu l’occasion de travailler au tribunal des cautionnements, tant pour les jeunes que pour les adultes, de faire du droit pénitentiaire et d’assister à des audiences de libération conditionnelle. J’ai également pu agir comme avocate adjointe dans un procès pour homicide involontaire. Je suis beaucoup plus « commercialisable » du fait que je fais mon stage ici.
—Sandra Bracken, ancienne stagiaire en droit