Locations résidentielles
Locataires vulnérables
En 2011, un Manitobain était forcé hors de son hébergement après qu’il avait refusé de permettre son propriétaire d’offrir son chèque d’aide sociale. Il avait pris résidence sous un pont pour plusieurs journées jusqu’à ce qu’il trouve une nouvelle maison.
Le centre juridique d’intérêt public lui représenterait devant la Commission des Locataires Résidentielles. Avec leur partenaire pro bono Karen Whitman, ils ont initié une plainte de droits de la personne. En plus du règlement de droits de la personne, qui doit resté confidentiel, les techniciens juridiques du centre juridique d’intérêt public ont obtenus plus de 3,000$ de compensation pour lui de la Commission des Locataires Résidentielles.
Taxe de Propriété
Dans les mi-1980s, le centre juridique d’intérêt public représenteraient le Self-Help Alliance for Fair Taxation (SHAFT), un groupe de propriétaires de Winnipeg. Comme la ville avait passé vingt ans sans avoir compléter un nouvelle évaluation de la taxe foncière, plusieurs propriétaires dans des communautés plus vielles et souvent à faible revenu épaulaient plus que leur juste part du fardeau de la taxe foncière. Avec l’assistance du centre juridique d’intérêt public, l’organisation avait gagné une décision du tribunal nécessitant la Ville d’effectuer une nouvelle évaluation foncière.
Logement pour Personnes atteinte de Maladies Mentales
Durant l’hiver de 2007-2008, la Ville de Winnipeg cherchait à fermer deux maisons de chambres dans le nord-ouest de Winnipeg parce qu’ils n’étaient pas proprement licenciés. Plusieurs des résidents avaient des handicapes mentales et physiques et craignaient que la fermeture leurs laisseraient sans abri.
Agissant pour la part de plusieurs locataires, le centre juridique d’intérêt public argumenterait devant la Court du Banc de la Reine que la fermeture causera un mal et souffrance irréparable pour un groupe vulnérable et désavantagé. Comme résultat, la cour publiait une injonction arrêtant la fermeture.
